Ma Jeunesse Tu es une femme presqu'une enfant Le miel de tes yeux coule encore sur tes joues Les caresses du vent sur ton corps envoutant Eveille le viel homme, franchissant les tabous
Oh jeunesse qu'il est bon de puiser à ta source Qu'il est doux de penser qu'il plait à la jouvence De croire un seul moment que d'arreter sa course Suffit un seul instant de revivre l'enfance
Tu es une femme mais pourtant qu'une enfant Les lignes de ton coeur te font parfois souffrir Laisse moi déposer les larmes de tes tourments Dans le creux de mon âme qu'il me plait de t'offrir
Si seulement je pouvais pour un moment revivre Les 20 ans que mon corps et mon coeur, oublié De plaisirs en désirs et de mots qui t'ennivre Je couvrirai ton corps d'amour et de baisers
Il est bien utopique de croire un seul instant Que la simple pensée de donner un baiser Le vieil homme que je suis ne restera qu'aimant Dans son ombre tapis et pour l'éternité
Il me plairai à croire que tu lises ce poeme Il me plairai à croire que tu n'en sois faché De l'enfant que tu es, de la femme que j'aime Il me plairai à croire que tu n'oublie jamais
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